Festival Haute-Fréquence - Gauchy

Eleanor Shine De ces airs qui vous restent en tête, de ces violons qui se rêveraient en guitare électrique ou de ces petites balades qui vous emmènent bien plus loin que vous ne l’auriez imaginé… La formule est simple : un violon, une voix. Mais c’est de bien plus qu’est fait le premier album d’Eleanor Shine. Tournant tantôt le regard du côté noise, tantôt du côté classique ou chanson, Eleanor Shine nous offre une musique délicate et inclassable. Bertrand Belin Persona n’est pas une chanson de l’album mais le rassemble, le lie. Persona embrasse. Mais quoi, mais qui ? Comme toujours chez Bertrand Belin, on entrevoit des solitudes, des ruptures, des départs, des déclassements, thèmes totémiques. « Je n’ai pas envie d’enfermer mes chansons, leur ambiguïté est volontaire, dit Belin. Mes personnages ne sont jamais déclarés, ils flottent dans un monde sans vrai rebord, on ne sait pas leur âge, leur sexe, comment ils sont habillés, à quelle société ils appartiennent ». Seule certitude : il est des leurs. Persona est une arborescence de vies sur le fil ou « Sur le cul », reliées par une attention fraternelle à l’humain qui vacille. Il n’est parfois que deviné, fragile point rouge qui danse la nuit, dans les collines : « Il faut que cela soit quelqu’une ou bien quelqu’un / Qui suit un sentier / Quelqu’un de transi / Quelqu’un qui fuit / Qui cherche un pays / Pour vivre / Vivant / De corps et d’esprit ».

Informations pratiques

Horaires

Tarifs

Tarif enfant : 5 €

Tarif adulte : 10 €

Eleanor Shine De ces airs qui vous restent en tête, de ces violons qui se rêveraient en guitare électrique ou de ces petites balades qui vous emmènent bien plus loin que vous ne l’auriez imaginé… La formule est simple : un violon, une voix. Mais c’est de bien plus qu’est fait le premier album d’Eleanor Shine. Tournant tantôt le regard du côté noise, tantôt du côté classique ou chanson, Eleanor Shine nous offre une musique délicate et inclassable. Bertrand Belin Persona n’est pas une chanson de l’album mais le rassemble, le lie. Persona embrasse. Mais quoi, mais qui ? Comme toujours chez Bertrand Belin, on entrevoit des solitudes, des ruptures, des départs, des déclassements, thèmes totémiques. « Je n’ai pas envie d’enfermer mes chansons, leur ambiguïté est volontaire, dit Belin. Mes personnages ne sont jamais déclarés, ils flottent dans un monde sans vrai rebord, on ne sait pas leur âge, leur sexe, comment ils sont habillés, à quelle société ils appartiennent ». Seule certitude : il est des leurs. Persona est une arborescence de vies sur le fil ou « Sur le cul », reliées par une attention fraternelle à l’humain qui vacille. Il n’est parfois que deviné, fragile point rouge qui danse la nuit, dans les collines : « Il faut que cela soit quelqu’une ou bien quelqu’un / Qui suit un sentier / Quelqu’un de transi / Quelqu’un qui fuit / Qui cherche un pays / Pour vivre / Vivant / De corps et d’esprit ».

Adresse

Rue Gabriel Péri